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Cela fait bientôt 10 ans que Legendary et Gareth Edwards ont ressuscité Godzilla dans le film éponyme. Et on peut déjà observer son importance, surtout en comparaison de celui de Roland Emmerich.
Dans quelques semaines, la série Monarch prolongera le Monsterverse et donc les aventures de Godzilla. Le roi des monstres revient de loin : lors de son premier voyage aux États-Unis, il s’était transformé en vulgaire lézard mutant sous l’impulsion de Godzilla non dénué de défaut, mais par instants flamboyant.
Comment Hollywood a-t-il pu mépriser à ce point l’icône de la pop culture japonaise ? Comment est-on é du sous-Jurassic Park pluvieux au Kaiju-Eiga majestueux ? En échange d’une vidéo sur Spy Kids, Mathieu a eu le droit de parler de son véritable amour et il a choisi de revenir sur cette histoire de rédemption américaine dont les studios devraient tirer des conclusions.
Un petit voyage dans l’histoire américaine de Big G, qui n’a pas toujours été respecté par les gros bonnets du milieu. Désormais, il garde la santé, aussi bien aux États-Unis que de son Japon natal. Raison de plus pour attendre Godzilla Minus One, qui s’annonce titanesque. Comptez sur nous pour vous en reparler.
Le Godzilla d’Emmerich est pour moi bien meilleur que les 3 Godzilla du Monsterverse réunis !
Pareil que Piterdevries40, pour pas mal de gens le seul, l’unique Godzilla c’est celui de Roland Emmerich. C’est du pur Junk Movie Pop Corn. Un vrai bonheur.
Le Godzilla d’Edward est une énigme. Toutes les critiques pros sont unanimes : c’est un chef d’oeuvre. Et la majorité du public est aussi unanime : on voit pas assez le monstre et on s’ennuie. Je suis aussi de cet avis. Quel ennui !! Par contre le Godzilla de 98 quel super film pop corn ! Je voyage beaucoup dans toutes la et dès que j’ai du temps je vais dans les magasins de revente de DVD et Blu-ray d’occase type Easy cash. A chaque fois je vois un stock énorme de dvd du Godzilla d’Edward. Preuve que peu de gens ont accroché. Quand on fait un film sur Godzilla bah faut mettre Godzilla dedans. Regardez les commentaires ici. Tous sont à l’opposé de l’article.
Le Godzilla d’Emmerich est très sous estimé. Il est super bien foutu avec une montée en tension progressive (on voit peu Godzilla au début, juste des indices (traces de pas, bateaux aspirés sous l’eau, etc…) et très partiellement lors de l’arrivée à New York, comme si le caméraman n’arrivait pas à cadrer entièrement ce monstre gigantesque! Ça rend bien !), la BO est génial et il y a Jean Reno.
Celui de Gareth Edwards bah… on s’emmerde (et pourtant j’aime les films lents de type Blade Runner 2049 et même The Batman je l’ai kiffé).
A nanar égal je préfère aussi celui d’Emmerich, celui de 2014 t’as envie de le secouer tellement il se fout de nous
Une vidéo plein de bon sens. Et pour les critiques sur le temps de présence de godzilla a l’écran il suffit de voir jaws et jurassic Park (ho tiens coucou Steve)pour voir que c’est pas la quantité qui fait la qualité
lot > désolé mais non, vraiment.
Je vous trouve bien gentil avec le film d’Edwards car si techniquement il tient très bien la route, malgré le fait que le MUTO est beaucoup trop inspiré de la créature de Cloverfield, pour le reste s’est beaucoup plus problématique. On final on vient un Godzilla, mais il n’est même pas présent plus de dix minutes à l’écran (que cela soit plus que partiellement ou de façon plus complète) sans parler du fait qu’il joue les « allumeuses » et que l’on ne vient pas voir un film sur les aventures de Martine Taylor-Johnson qui de plus est très mal écrit comme d’habitude avec les films de G. Edwards
Desole mais le Godzilla 98 est bien.plus reussi…
Chacun ses gouts mais celui d’Emmerich est le seul Godzilla que j’arrive à regarder (et toujours avec plaisir !)