Chez Marvel, Star Wars ou Le Seigneur des anneaux, sur Amazon ou sur Netflix : quelles sont les 10 pires séries de 2024 ?
L’année dernière, Ecran Large avait élu Secret Invasion, Outer Banks saison 3, Ahsoka, Fubar, Abysses ou encore Le Continental : D’après l’univers de John Wick comme quelques unes des pires (ou plus décevantes) séries de l’année. En 2024, la bataille a été rude, avec beaucoup de visionnages douloureux et d’expériences mémorables, dans le très mauvais sens du terme.
Ecran Large a donc élaboré une liste non exhaustive et hautement subjective des 10 pires séries de 2024.
Avertissement : classement sans ordre particulier

Knuckles
- Sortie : avril 2024
- Durée : 6 épisodes d’environ 30 minutes
De quoi ça parle ? Des aventures de Knuckles, qui accompagne un boloss fan de bowling dans sa quête pour impressionner son père. Sinon, vous saviez que c’était adapté d’un jeu vidéo ?
Pourquoi c’est encore pire que Sonic (si, si) ? Etrange cas que la franchise qui s’est bâtie à la vitesse de l’éclair autour de l’adaptation de Sonic. A chaque fois qu’on souligne à quel point elle se vautre dans le pire du divertissement familial produit à la chaîne, des hordes d’internautes se déversent sur nos réseaux pour s’en indigner. Mais leurs deux arguments entrent un peu en contradiction.
Selon certains, on n’est pas la cible, car elle est destinée aux « fans » (pour qui elle est devenue la quintessence du divertissement depuis que Paramount a accepté de faire cruncher ses artistes CG afin de satisfaire leur caprice). Selon d’autres, on n’est pas la cible, car elle est destinée aux enfants (qui ne méritent donc pas mieux).
Peu étonnant qu’il en reste pour trouver regardable Knuckles, laquelle n’a plus grand-chose à voir avec Sonic, mais joue à la fois sur le tableau du name-dropping nostalgique et sur celui de l’humour niveau 3e section (jeu d’acteur inclus). Pour qui n’aime pas trop rentrer dans une case marketing, en revanche, il s’agit d’un vrai sommet de malaise que rien, pas même la voix d’Idris Elba, ne peut atténuer.
En place Saison 2
- Sortie : août 2024
- Durée : 6 épisodes d’environ 30 min

De quoi ça parle ? Stéphane Blé est devenu président après avoir remporté l’élection contre toute attente, sauf qu’évidemment, ce n’est pas aussi facile que prévu d’être tout en haut de l’Etat.
Pourquoi c’est usant ? Avec ce nouveau scrutin en ligne de mire et la récente actualité politique française, cette saison 2 d’En place a eu le nez creux. C’est sans doute ce qui empêche la série de totalement se liquéfier au fil des épisodes. Car d’une certaine manière, avec une nouvelle élection à préparer, un paysage politique ultra-divisé et donc des alliances de fortune, cette deuxième salve d’épisodes a largement anticipé le marasme de la dissolution macroniste de juin 2024.
Malheureusement, si la série semblait avoir pour ambition, à son origine, de dénoncer la politique française, l’intention a été jetée au placard. Loin d’être une satire un tant soi peu pertinente (à quelques exceptions près), la série Netflix privilégie le vaudeville avec des sous-intrigues lourdingues et des moqueries étrangement méprisantes.
Parasyte : The Grey
- Sortie : avril 2024
- Durée : 6 épisodes entre 40 et 60 minutes

De quoi ça parle ? Des parasites extraterrestres débarquent sur Terre et prennent possession des humains tout en restant cachés.
Pourquoi c’est une immense déception ? Que se e-t-il avec Parasyte : The Grey se charge de le confirmer.
Sur le papier, cette histoire de parasites extraterrestres à mi-chemin entre The Thing et L’Invasion des profanateurs de sepultures était pourtant pleine de promesses, aussi bien celle d’un body-horror poussé à l’extrême que celle d’un sous-texte pertinent sur la société coréenne et la nature humaine. Dans les faits, il n’en est rien.
Cette adaptation du manga d’Hitoshi Iwaaki cumule les rendez-vous manqués, aussi bien avec ses CGI dégueux (mais pas dans le bon sens du terme), son propos social et anthropologique inexistant, ses personnages clichés et unicellulaires, ou sa réalisation barbante qui avait pourtant de quoi s’am avec le style de combat improbable des infectés. Fuyez, et/ou revoyez plutôt l’adaptation animée, 100 fois plus intéressante et divertissante.
Agatha All Along
- Sortie : septembre 2024
- Durée : 9 épisodes, de 30-50 minutes

De quoi ça parle ? D’Agatha, la méchante sorcière de WandaVision, qui a droit à sa propre série. Elle va former une bande de sorcières et affronter une série d’épreuves afin de retrouver ses pouvoirs.
Pourquoi on mérite mieux ? Oui, il y a peut-être pire (She-Hulk, Falcon et la soldat de l’hiver, Miss Marvel ou Echo, selon les avis). Oui, ça se laissait regarder, les actrices sont talentueuses, la campagne sur les réseaux sociaux a été très bien gérée, et la mélodie The Ballad of the Witches’ Road est restée en tête. Mais c’est bien la seule chose un tant soit peu mémorable dans cet énième produit Marvel.
Après un top départ pauvrement calqué sur les bonnes idées de WandaVision (la parodie de série dans la série, expédiée en un épisode ici) et la mise en place des enjeux amusants (le Coven d’Agatha et l’arrivée sur cette fameuse route magique), Agatha All Along s’enlise dans sa formule. Les épreuves s’enchaînent et se ressemblent trop, les personnages meurent sans avoir eu suffisamment de temps pour exister, les actrices tournent en rond, et surtout le bulldozer MCU e pour les inévitables liens avec la mythologie.
Au final, après neuf épisodes, il y a encore cette impression d’avoir vu une petite histoire beaucoup trop étirée, qui se termine sur le teasing d’une suite sous une forme ou une autre. Agatha All Along ret donc la liste des « contenus » de streaming désespérément inoffensifs, inintéressants et interminables. Il y a bien pire, mais on mérite mieux. Et tous les gens impliqués aussi.
Sexy Beast
- Sortie : 25 janvier 2024 sur Paramount+
- Durée : 8 épisodes d’une heure environ
De quoi ça parle ? Dans les années 90, à Londres, deux malfrats se font repérer par un parrain, et gravissent les échelons dans un monde du crime impitoyable.
Pourquoi c’est complètement inutile ? Si La Zone d’intérêt nous a bien rappelé une chose, c’est la rareté du réalisateur Jonathan Glazer. En 23 ans, le réalisateur britannique n’a signé que quatre longs-métrages, dont Sexy Beast, faux film de gangsters porté par Ray Winstone et Ben Kingsley. Un petit bijou de niche, dont l’adaptation en série sous la forme d’un prequel semblait des plus improbables. En plus de devoir raccorder son récit au film d’origine comme si tout le monde l’avait vu, cette création inutile détruit par essence le hors-champ primordial du film de Glazer.
Pire, la bizarrerie de Sexy Beast se retrouve fatalement perdue dans cette histoire de voyous hyper-classique, contre-sens d’un long-métrage qui se refusait au genre qu’il investissait. Si la série peine à imprégner un quelconque souvenir, le sentiment de vacuité qui l’accompagne pose en revanche une question qui a le mérite de rester en tête : à qui est censé s’adresser ce projet ?
Le Problème à 3 corps
- Sortie : mars 2024
- Durée : 8 épisodes de 1 heure environ

De quoi ça parle ? De la mort mystérieuse de plusieurs scientifiques, de chiffres qui s’affichent dans le champ de vision de certaines personnes, et d’un jeu VR particulièrement prenant.
Pourquoi c’est un gâchis monumental ? Le premier tome de la trilogie phare du célèbre auteur chinois Liu Cixin, Le Problème à 3 corps, avait déjà eu droit à une adaptation locale en 2023, à laquelle on a beaucoup reproché sa lenteur. Dans sa propre version pétée de thunes, commandée au duo de Game of Thrones (aux côtés d’Alexander Woo) pour régner sur le marché des séries blockbuster, Netflix fait l’erreur inverse.
Les scénaristes ont été chargés de condenser non seulement ce premier volet, mais également des fragments des suivants en huit petits épisodes. Mais ce n’est pas tout : ils ont balancé dans la mixture déjà indigeste un comic relief péniblement incarné par John Bradley-West, et ont remplacé le héros du roman par plusieurs post-adolescents BCBG censés être des scientifiques. Et bien sûr, c’était l’occasion d’insérer au forceps quelques amourettes de soap opera. Quitte à mutiler l’œuvre originale, autant y aller franchement.
Ceux qui n’ont pas eu la chance de la lire s’ennuieront donc rarement devant ce gloubi-boulga archi-débile où sont balancées en vrac les dizaines de concepts vertigineux avancés par Liu Cixin. Mais on pourrait aussi déplorer qu’autant de spectateurs les découvrent par ce biais bancal, d’autant que – et c’est la faute la moins pardonnable –, même avec ses dizaines de millions de dollars de budget, la série ne parvient jamais à restituer l’ampleur et le spectacle inhérents à cette histoire, sombrant dans le nanar au moment de présenter son « chef de la Terre ».
The Acolyte
- Sortie : juin 2024
- Durée : 8 épisodes de 35-45 minutes

De quoi ça parle ? Durant la période prospère de la Haute République, alors que l’Ordre Jedi est à son apogée, une série de meurtres va réunir les sœurs jumelles Osha et Mae, séparées depuis des années et œuvrant chacune d’un côté de la Force…
Pourquoi c’est… ? C’est désormais la tradition : la série Star Wars qui divise (l’équipe, les fans, la Terre, la galaxie). L’année dernière, c’était Ahsoka qui avait eu l’honneur de recevoir des critiques positives sur Ecran Large durant sa diffusion, avant de récolter un tacle de fin d’année.
Cette année, The Acolyte n’a pas volé sa place dans le flop, même si elle été soutenue par une partie de l’équipe cet été. Ce qui devrait ravir toutes ces personnes venues HURLER dans les commentaires que c’était un scandale d’état d’oser en dire du bien – autre théorie : on va désormais attirer les commentaires de gens qui ont aimé The Acolyte et ne comprennent pas qu’on en dise du mal, comme l’année dernière avec Ahsoka dans les flops.
Tout n’est pas à jeter dans The Acolyte, sauf le principal : le scénario. C’était déjà sacrément osé de ressortir la vieille ficelle des sœurs jumelles, avec la méchante vs la gentille et même une usurpation d’identité en cours de route. Ce n’était également pas très fin de construire toute une saison sur le mystère d’un long flashback, retenu jusqu’à l’avant-dernier épisode afin de créer un suspense éventé.
Et avec tout le reste de l’attirail (le grand méchant, les mêmes sempiternels enjeux, le lien avec la mythologie sacrée de Star Wars), The Acolyte a semblé immédiatement ringarde, et évidemment beaucoup trop longue pour ce qu’elle avait à raconter. Et sachant qu’elle aurait coûté 230 millions (selon Forbes), le résultat ne peut qu’apparaître incroyablement fade et sans ambition, à tous les étages.
Avatar : Le Dernier maître de l’air
- Sortie : février 2024
- Durée : 8 épisodes d’environ 50 minutes chacun

De quoi ça parle ? Autrefois, les nation de l’Eau, de la Terre, de l’Air et du Feu vivaient en harmonie grâce à l’Avatar, le maître des quatre éléments. Du moins jusqu’à ce que la Nation du feu attaque toutes les autres et que l’Avatar disparaisse. Celui-ci refait cependant surface 100 ans plus tard.
Pourquoi c’est encore un remake nul ? Non, la série Avatar, le dernier maître de l’air n’est pas pire que le film signé M. Night Shyamalan, ce qui n’en fait pas une bonne adaptation pour autant. Le format sériel promettait de ne pas reproduire les erreurs de la précédente adaptation qui, par manque de temps, avait torpillé la complexité de l’histoire et de ses protagonistes. Sauf que la série d’Albert Kim est médiocre à un niveau incompréhensible, et à tous les niveaux (sauf peut-être les costumes, s’il fallait vraiment sauver quelque chose).
Le récit raplapla met plus longtemps à sortir du coma que son héros. Le réalisateur échoue à apporter le moindre dynamisme aux combats d’arts martiaux, et quand par miracle un vent aventureux souffle à l’écran, le montage chaotique se charge de l’étouffer.
Quant au ton, s’il se veut moins ronflant que celui du film, la série en prises de vues réelles peine à faire coexister humour et maturité, si bien que les épisodes sont rarement drôles et ne parviennent pas à rendre la gravité des événements et de l’urgence de la situation (alors qu’on parle de génocide). Encore un autre remake en prises de vues réelles foiré, donc.
Le Seigneur des anneaux : Les Anneaux de pouvoir Saison 2
- Sortie : septembre 2024
- Durée : 8 épisodes d’environ 1 heure

De quoi ça parle ? Dans l’épisode 1 de la saison 1, on se demandait qui était l’Etranger. Dans le final de la saison 1, on apprenait enfin qui était l’Etranger. Dans la saison 2, on se demande qui est l’Etranger… (suspense).
Pourquoi c’est le vrai fléau d’Isildur ? A la fin de la saison 1, les showrunners J.D. Payne et Patrick McKay avaient assuré à The Hollywood Reporter avoir bien pris note des critiques adressées à l’encontre de leur simili-adaptation. Visiblement, la conclusion qu’ils ont tirée, c’est que Les Anneaux de pouvoir ne comporte pas encore assez de fan-service. Entre en scène (entre autres) Tom Bombadil, qui va faire virer l’atroce arc narratif de l’étranger au sous-Harry Potter le plus putassier.
Ils se sont aussi dits qu’ils allaient multiplier encore un peu plus les personnages, histoire de ne pas trop s’y attacher. Ça serait dommage qu’on ressente quelque chose quand ils clamsent. Bref, c’est désormais officiel : la série restera à jamais un produit de franchise cynique maquillé en hommage à Tolkien, dont le seul vrai intérêt réside désormais dans ses fulgurances nanardesques, telles une charge de cavalerie s’achevant sur un coup de frein à main.
A priori, la plateforme a prévu de poursuivre son petit tour-opérateur des hauts lieux de la Terre du milieu pendant plusieurs saisons. Pas besoin d’être Rohirrim ou parisien pour savoir que c’est toujours les touristes qui se font plumer.
Secret Level
- Sortie : 10 décembre sur Amazon Prime Video
- Durée : 15 épisodes entre 10 et 20 minutes

De quoi ça parle ? Une série anthologique animée autour de 15 licences du jeu vidéo.
Pourquoi c’est une pub géante et maladroite ? Blur Studio s’est depuis de nombreuses années spécialisé dans les cinématiques et les bandes-annonces de jeu vidéo. Voir le studio de Tim Miller proposer une série anthologique dans la foulée de Love, Death & Robots sonnait comme une évidence.
Mais il s’agit de l’une des plus grosses déceptions de l’année. En ne déant jamais le stade de l’intention conceptuelle et de la démonstration technique, Secret Level ne raconte aucune histoire à partir de ces 15 licences de jeu.
Blur se repose sur ses acquis, et confond la notion de court-métrage avec celle de cinématique, voire de pub assez honteuse (l’épisode PlayStation, le pire), qui ne se pose même plus la question de la valeur d’une adaptation. Pourtant, il y avait des choses à tirer des expériences de jeu des différentes franchises, à peine effleurées dans le temps trop court et frustrant des épisodes.
Face à une méthodologie inchangée, qui impressionnait sur Youtube il y a 15 ans, Blur semble coincé dans une adolescence ingrate et immature, trop heureuse de tirer de Pac-Man une relecture edgy et de Warhammer 40,000 de la bourrinade au ralenti. On était en droit d’attendre bien plus, et de manière beaucoup moins formatée.
Ah mince… je voulais tester Secret Level. Bon.. je vais tester quand-même, mais en m’attendant à du mauvais, ok. Pour le reste, j’ai tenté 5 minutes du problème à 3 corps, 15 de l’avatar, un épisode entier de l’acolyte, et rien du reste… je m’en suis pas mal sorti je trouve.
La série sur qui sera le prochain 1er ministre est bien nulle aussi
Déçu pour SILO saison 2, DUNE PROPHECY quel ennuie. Les Anneaux du Pouvoir vu et déjà oublié.
Je vous trouve très dur avec Agatha, c’était justement une des bonnes surprises pour moi !
Agatha all along dans les 10 pires de 2024, z’ètes sérieux ? POUR MOI ELLE EST LARGEMENT DANS LE TOP 10 DES MEILLEURS!
Et un grand merci encore et bravo pour vos articles, dossiers, critiques et autres à longueur d’année ! C’est du taf’ et qu’on soit d’accord ou non avec vos avis, vous parlez toujours en tant que ionnés et sans langue de bois : tout à fait ce que j’adore avec votre ligne éditoriale et raison pour laquelle je continue à traîner mes guêtres ici depuis… bien trop d’années pour les compter, ahah !
Don’t keep changing 😉
Autant je comprends votre frustration par rapport aux Anneaux de Pouvoir, autant j’ai du mal (malgré les nombreux points noirs de la série, que je ne minimise pas) à le considérer comme l’un des flops de l’année. Oui, évidemment, il y a de la frustration ou de la déception de voir adapté de façon aussi bordélique et nawakesque l’un des chapitres charnières (et pourtant très peu documentés) de la grande fresque Tolkienienne, mais est-ce vraiment l’un des pires trucs qu’on a pu voir cette année sur petit écran ? Pas certain…
Perso, je suis fan aussi bien de Tolkien que de ses Terres du Milieu, il y a bien sûr énormément de choses qui m’ont ulcéré depuis la 1e saison, mais il y a aussi à coté ce plaisir de découvrir des lieux/personnages/évènements encore jamais portés à l’écran et qui font vraiment plaisir à voir. Aaaah et puis, la « bromance maudite » entre Celebrimbor et Annathar : on a beau savoir comment ça se termine, impossible de ne pas en ressentir quelques frissons, surtout lorsque le « Seigneur des Dons » commence à montrer son réel visage. Perso, j’en ai les poils qui se hérissent rien que d’y penser ! ^^
Mais c’est vrai que leurs parties de Cluedo à rallonge en mode « qui est qui? » ont tendance à être chiantes sur la longueur et que de nombreuses sous-intrigues/personnages pourraient facilement être jetées à la benne sans que ça n’influe réellement sur le reste… d’après les dernières annonces des showrunners, ce point devrait corrigé dans la S3, on verra bien sur le moment, je suis comme St-Thomas.
Mais en attendant, même avec toutes ces réserves, ben j’ai quand même é un moment plutôt chouette avec cette seconde saison, qui aura gommé quelques points noirs de la première même s’il reste encore un peu de chemin à faire…
Mais of course, je respecte les choix de la redac’ : les égoûts et les douleurs, tout ça tout ça ! 😉
Vu les Anneaux de pouvoir et the Acolyte.
Pour les anneaux, c’est vraiment étaler la confiture sur la tartine pendant des plombes, il ne se e pas grand chose, trop de sous histoires qui finissent par lasser, des acteurs à quelques exceptions près plutôt médiocres .
bref un flop artistique mérité.
Quand à la série Star wars, j’ai vu pire, globalement ça se laisse suivre malgré une actrice principale guère convaincante.
Qu’il n’y ait pas de suite ne m’a pas chagriné plus que ça.
Ils ont pas tort d’inclure les anneaux de pouvoir dans les flops. Certes, ce n’est pas l’une des pires séries de l’année mais au vu de son budget mal investi, sa réalisation peu inspirée et ses scénaristes qui ne respectent rien des écrits dont la série s’inspire, réduisant ainsi tout le potentiel de la série à néant, elle mérite largement sa place dans les flops.
Le mieux serait peut-être d’arrêter de nous lire/écouter si notre ligne éditoriale vous est si pénible…