Le film Milly Alcock (House of the Dragon).
Tous les épisodes de DC Universe de James Gunn et Peter Safran, sont disponibles sur Max. Sans trop de surprise, c’est très réussi. Si l’écriture de Gunn est étouffée par un format un peu mécanique de 20min, sa série avec Indira Varma et Alan Tudyk séduit tout de même par son humour, son insolence et sa générosité.

Supergirl, la famille Superman s’agrandit
Le prochain gros rendez-vous du DC Universe est fixé au 9 juillet prochain, pour le Superman réalisé par James Gunn. En attendant de découvrir ce que l’on espère être la nouvelle claquasse super héroïque du réalisateur des Gardiens de la Galaxie, The Suicide Squad et Super, le deuxième film du DCU, Supergirl : Woman of Tomorrow, continue à se dévoiler.
En effet, le Hollywood Reporter a annoncé que David Krumholtz et Emily Beecham ont ret le casting du long-métrage réalisé par Craig Gillespie. Krumholtz s’est récemment illustré dans le rôle d’Isidor Rabi dans le Oppenheimer mis en scène par Christopher Nolan. Il a notamment joué dans The Deuce et The Good Wife. Beecham, quant à elle, a é une tête dans le Ave, César ! réalisé par Ethan et Joel Coen, dans The Covenant, mis en scène par Guy Ritchie, mais surtout dans la série 1899 de Netflix.

La comédienne a déjà collaboré avec le cinéaste Craig Gillespie pour le Cruella de Disney. David Krumholtz et Emily Beecham incarneront dans Supergirl les parents de la protagoniste éponyme. Pour rappel, le scénario de Woman of Tomorrow a été écrit par Ana Nogueira (autrice du court-métrage We Win et actrice dans les séries Vampire Diaries et Hightown), adapté d’une mini-série de bandes dessinées signée Tom King et Bilquis Evely.
On retrouvera au casting du film, notamment, Milly Alcock (House of the Dragon) dans le rôle-titre, Matthias Schoenaerts (De rouille et d’os) en méchant Krem et Jason Momoa (Aquaman) en Lobo. Supergirl : Woman of Tomorrow sortira dans nos cinémas français le 24 juin 2026.

De belles promesses, ce Superman, mais je n’y crois plus depuis la dissolution de la précédente Justice League. Vu comment c’est parti, on aura droit à une sorte de Guardians of the Galaxy version Superman. Avec le frère Gunn en caméo, suivi d’un flop que le réalisateur tentera de justifier avec des excuses bidons, et que c’est pas sa faute mais celle des autres, etc. etc.
Plutôt que repartir un énième fois de zéro, il y avait largement de quoi redresser la barre du précédent DCU.