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Comme à peu près tous les films qui l’ont précédé, Jurassic World : Renaissance nous promet un retour aux sources… et des dinosaures mutants. La preuve avec de nouvelles images.
Il n’a pas fallu longtemps à Universal pour annoncer un nouveau Jurassic World, après le dernier volet de la trilogie. Il faut dire que la saga créée en 1993 par Steven Spielberg et David Koepp, à partir d’un roman de Michael Crichton, est encore très, très lucrative. Les trois films précédents ont tous déé le milliard de dollars de recettes (in extremis dans le cas du dernier) et le studio compte bien en faire de même avec cette Renaissance, qui embarque tout de même Mahershala Ali.
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La campagne de promotion bat son plein et le nouveau spot au format featurette (un mini making-of où tout le monde récite des slogans marketing) avance un argument ô combien original : promis, cette fois, ça sera comme avant.
Jurassic World : nostalgie garantie
Nostalgie est donc le mot d’ordre de cette petite vidéo, qui met évidemment en avant la séquence du raft poursuivi par un T-Rex, l’un des ages les plus spectaculaires du roman absent du premier Jurassic Park et dont on peut découvrir quelques images inédites. Renaissance serait donc le vrai retour aux sources de la saga… du moins si on ignore la promotion et la débauche de fan-service des volets précédents, qui étaient aussi vendus à l’époque comme des récitations sages de vos précieux souvenirs d’enfance.
Ce sont bien entendu les nouveautés qui nous intéressent ici, à savoir par exemple le méga-mutant déjà surnommé D-Rex par les fans, qui laisse augurer une réelle dimension horrifique. Malheureusement (ou heureusement ?), il ne se dévoile pas beaucoup plus que dans la bande-annonce précédente. « Il y aura beaucoup d’humour et ça sera fun, mais il y a aussi beaucoup de moments très effrayants, très intenses », nous promet le réalisateur Gareth Edwards, qui avait déjà mis en scène un Godzilla menaçant en 2014.
Le pitch ne brille pas non plus par son originalité : cinq ans après les évènements du Monde d’après, les quelques dinosaures restants coexistent dans une éco-sphère tropicale isolée. Les trois plus grosses bestioles du coin détiennent les clés d’un médicament révolutionnaire et une petite équipe embarque pour les trouver. Énième hochet nostalgique insipide ou vrai spectacle épique ? Réponse le 4 juillet 2025 en salles.
Ces films ne racontent plus rien depuis un bon moment. J’ai l’impression de voir un plagiat de celui sorti juste avant à chaque fois.
Les trailers sont de plus en plus alléchants, rien qu’au niveau de l’action à la Indiana Jones grande époque ! Même si c’est boursoufflé de numérique, ça a l’air assez chiadé et crédible.
Je viens juste de revoir Rogue One et d’enfin voir The Creator que j’avais loupé. Dans les deux cas l’histoire est basique mais correcte, ça se tient parfaitement narrativement, malgré un peu trop de pathos avec les persos. Et surtout Edwards maîtrise la tension et le suspense dans l’action. Un Jurassic Park old school dans la droite lignée de ces deux films, ça va marcher, pas de doute, ça va même sûrement donner un coup de vieux précoce à la trilogie World!
J’aurais préféré Blake Lively en place de ScarJo lol( pas un article sur cette histoire de fou entre elle et Baldoni, a la lumière des infos l’insipidité de End with Us apparaît sous un autre jour). Concernant ce Jurassic park, me concernant l’embauche d’Edwards au vu de ces précédents films sonne comme une évidence, Rogue One et son film avec le fils Washington était chiadés, ça va remonter le niveau j’en suis sûr
Sûrement un hochet nostalgique, mais avec Gareth Edwards aux commandes, il ne sera certainement pas insipide.
Pour le coup, c’est toujours un argument marketing usé jusqu’à la corde, mais le retour aux sources a l’air d’être vraiment réel cette fois. La question, c’est surtout : est-ce que la meilleure manière de perpétuer une saga, c’est vraiment de revenir aux sources et refaire toujours la même chose ?
Les Jurassic World étaient plus que boiteux, mais ils avaient au moins le mérite d’ouvrir de nouvelles voies. Dommage qu’ils les aient refermées aussi sec, justement.
Après, là, avec Gareth Edwards aux manettes, j’ai une confiance absolue, je sais que perso, j’adorerai ce film. ^^